Ça fait trois fois dix ans
aujourd'hui qu'un prof nous a affranchis, un lundi à dix du mat', à
propos d'un roi du roman, d'un gars au top qui a sorti un bouquin où
il manquait un truc, tout con mais pourtant primordial... Tu vois
qui, ou quoi ? Non ? Tant pis pour toi, trop dur pour moi, j'ai du
mal à t'affranchir à mon tour.
Six fois cinq ans, ça
mûrit toujours... mais ça suffit ! Aujourd'hui j'y vais aussi !
D'aucuns diront qu'il s'agit d'un machin fait, surfait, alors j'irai
plus loin : voilà un post où pas 1 mais 4 ont disparu ! Plus ? OK,
si j'axais mon propos sur la gadji qui a son nom, à Jojo...
(Au fait, non, j'ai
toujours pas lu La Disparition...)
J'avais 17 ans n 1992 au momnt ds Jux d
Barclon, mais mm pndant ls olympiads, j suivais assidûmnt
l'athltism à la tl, championnats d'urop, du Mond, d Franc, mtings
dont ls rsums taint diffuss n duxim parti d soir, j n manquais rin.
t mm s
c'tait profondmnt injust, j n'aimais pas Mari-Jos Prc...
Put-tr
à caus d sa suprmati insolnt sur l 400 puis l 200m. Ds grands
compts, avc du suspns, ll n a courus. Mais toujours, mm malmn, ll
finissait inluctablmnt par s'xtrair du Iagon d tt t rglr ss advrsairs
dans la drnir lign droit. t au fil du tmps t ds comptitions, l suspns
faiblissait, t dans mon sprit, sa grandur d championn souffrait d
l'crasmnt d la concurrnc. C'st absurd, on n put pas n vouloir à
qulqu'un d'tr l millur, mais c'st ainsi, ls grands champions ont
bsoin d grands advrsairs pour ntrr dans la lgnd t qui s souvint d
Cathy Frman d nos jours ?
t puis
surtout, à l'poqu (comm ncor aujourd'hui d'aillurs), il y avait
PatricI Montl au micro d Franc Tlvisions (Antnn 2 alors).
Loin d
moi l'id d tirr sur l'ambulanc, maintnant qu'il st plus dcri qu'avant, mais djà dans ls anns 90, il
tait insupportabl. Il s'xcitait sur ds non-vnmnts t multipliait ls
commntairs patrnalists sur ls athlts n ls surnommant affctuusmnt t
avc un brin d condscndanc "gamin".
J m
souvins ncor d cs "imags qu'on ador t qu'on aimrait voir plus
souvnt, qui font la grandur du sport d haut nivau", qui n
montraint qu'un ptit accolad ntr dux athlts n fin d comptition à
l'cran. Ctt accolad d fin d'pruv, cll qui transformait l vainquur n
"grand champion" simplmnt parc qu'il vnait flicitr ss
advrsairs malhurux. Sauf qu'un accolad, ça s fait à dux t ls
prdants, ux, n'taint pas grandis aux yux d PatricI Montl par l fait d
congratulr lur vainquur...
t ncor
la façon qu'il avait d laissr ntndr qu'il connaissait prsonnllmnt
tous ls athlts français n ls applant par lurs prnoms quand il
commntait. Put-tr ls connaissait-il ffctivmnt, mais ça m'nrvait !!!!
L summum tait attint vidmmnt quand il parlait d "Mari-Jo".
t puis
il adjctivait l'advrb "vit" t ça m rndait fou : "il
st vit sur ls hais", "il st plus vit qu l Inyan"...
nfin, il
bossait avc Nlson Monfort, qui traduisait tout approximativmnt n
raccourcissant t simplifiant ls dclarations ds athlts...
Tristmnt,
j'associ Mari-Jos Prc t sa suprmati dans ls anns 90 à PatricI Montl,
t franchmnt, PatricI Montl m'a gâch Mari-Jos Prc. Vous comprnI
maintnant pourquoi j vous crivais plus haut qu c'tait injust !
Comm
crtains lttrs dans crtains romans, Mari-Jos Prc a disparu t
aujourd'hui hlas, PatricI st toujours là.
Bon,
j'arrt là l bla-bla, c txt n srt à rin, il st djà baucoup trop
long pour simplmnt justifir la boutad rndu possibl par la combinaison
Ctrl+F d mon traitmnt d txt...
Dfi rlv,
Monsiur Prc ! t bravo t pardon à votr homonym...
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